jeudi 5 février 2009

The Decemberists - Hazards of Love [2009]

01. Prelude
02. Hazards of Love 1 (The Prettiest Whistles Won’t Wrestle the Thistles Undone)
03. A Bower Scene
04. Won’t Want for Love (Margaret in the Taiga)
05. Hazards of Love 2 (Wager All)
06. The Queen’s Approach
07. Isn’t It a Lovely Night ?
08. The Wanting Comes in Waves / Repaid
09. An Interlude
10. The Rake’s Song [streaming Spotify]
11. The Abduction of Margaret
12. The Queen’s Rebuke / The Crossing
13. Annan Water
14. Margaret in Captivity
15. Hazards of Love 3 (Revenge !)
16. The Wanting Comes in Waves (Reprise)
17. The Hazards Of Love 4 (The Drowned)

Le cinquième album studio des Decemberists, intitulé Hazards of Love et prévu pour le 24 mars chez Capitol, est sans doute l'un des albums les plus attendus de cette année 2009. Une impatience qui en ce qui me concerne s'accompagne d'un peu d'inquiétude, ni la série de singles parus l'an dernier (et dont seul "Record Year" aura retenu mon attention) ni cette première chanson "The Rake's Song" offerte par le groupe en guise d'apéritif (qui n'est pas mauvaise mais sans plus) n'ayant pour l'instant provoqué chez moi les mêmes émois que les précédents albums. [lien vers la chanson retiré pour violation de copyright — oui, même pour une chanson distribuée gratuitement...]

Mais au lieu de faire le pessimiste et de juger un album sur une seule chanson, récapitulons : que savons-nous de Hazards of Love ?

En premier lieu, notons qu'il s'agit là d'un album-concept nous narrant d'un bout à l'autre une histoire qu'un rapide coup d'oeil aux titres nous permet d'aisément imaginer faite de trahisons, de vengeances, de complots, d'amours impossibles, d'assassins fourbes et de femmes en détresse. Pas vraiment de surprise de ce côté-là donc.

Ce qui surprend par contre un peu plus, c'est quand Colin Meloy cite comme source d'inspiration le groupe canadien de rock Black Mountain (dont l'album In The Future et son rock paradoxalement rétro ont marqué l'année passée), puis va jusqu'à décrire l'album comme un amalgame entre Pentangle, Wendy Carlos et Electric Wizard. Oui vous avez bien lu. (source : Paste Magazine)

J'avoue pour ma part ne pas vraiment réussir à imaginer le résultat d'un tel croisement, mais voilà qui a au moins le mérite d'intriguer et qui donne encore plus envie d'être déjà au 24 mars prochain (ou sans doute un peu avant pour certains) afin de savoir s'ils feront aussi bien que sur leur précédent album, l'excellent The Crane Wife.

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